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Le fruit défendu

5 février 2014

Lui : insomnie

C'est encore une de ces nuits ou le sommeil te tiens loin de lui. Une de ces nuits ou le silence de la chambre résonne des bruits extérieurs et ou mon esprit s'échappe pour venir a ta rencontre. Et c'est cette rencontre que je fantasme ... Un rendez vous secret, un repas au restaurant ou nous nous retrouvons. Et ton arrivée... Montée sur tes talons , moulée dans ton pantalon ... Tu me cherches des yeux et j'en profite pour admirer les courbes qui se dessinent. Le repas , nous n'y toucherons quasiment pas. Impatients, nous partons déjà nous cacher aux yeux du monde dans une chambre hôtel. Tu as tout préparé... Une chambre spacieuse, coupe pleine de fruits sur la table mais surtout à côté du lit... Alignés ... Tes jouets de plaisir... Tu vois que je les vois et ce que tu mis sur mon visage t'excite. Tu m'entraînes par la main et tu me pousses sur le lit... Tes vêtements disparaissent presque et nue tu te glisses entre mes jambes et commence a me déshabiller ... Tu souris de voir mon pantalon déjà tendu d'excitation et en libérant mon sexe tu préfère ne pas attendre plus longtemps et tout en tirant sur mes vêtements d'une main tu commence de l'autre des va et vient sur ma verge... Finalement l'excitation te gagne et tu abandonnes mon pantalons pour concentrer tes gestes su mon sexe et ta bouche part a son contact... Délicieuses lèvres qui viennent l'envelopper ... Tu m'avales profondément tout en tirant sur sa peau pour libérer le gland au maximum... Oh que j'aime ça... Tu me regardes entre chaque geste et je vois le plaisir monter aussi chez toi... Et c'est pour ça que tu n'attend pas plus et vient me chevaucher ... Tu te places au dessus de moi et tu te retournes puis t'accroupis pour venir glisser entre tes jambes mon sexe tendu de plaisir. Je m'enfonce profondément et doucement en toi, dans la chaleur de ton intimité, je sens toute l'humidité de ton excitation ... Tes hanches commence a onduler sur moi, de amples mouvements qui me font aller et venir en toi... Tu te penches de plus en plus en avant et tu offres a ma vue tes fesses... Je décide de venir stimuler aussi celles la et je commence a faire tourner mon pouce dessus. Je sens que tu réagis tout de suite ! Je l'amène a ma bouche et le suce ... Puis je le place a l'entrée de ton cul et je pousse doucement ... Tout doucement ... Tes mouvements de bassins deviennent chaotiques... Tu perds le rythme et je sens que ton orgasme arrive au moment ou je pousse profondément mon doigt en toi....
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2 février 2014

Elle : Tu m'obsèdes

Seule dans cet appart'. Je voudrais que tu frappes à la porte. Que tu me fasses cette surprise. Que j'ouvre, et que je puisse enfin laisser aller mon désir. Dans le silence. Pas besoin de parler dans notre cas. 

Tu rentres. Tu es grand, puissant, sûr de toi. Tu dégages la force du masculin. Je me sens fragile, à ta merci. J'ai envie que tu me domines, j'ai envie de m'offrir à toi. Je recule de quelques pas. Tu entres dans l'appartement maintenant et tu t'installes dans le canapé. Je me mets en face de toi, et doucement je me déshabille. Couche par couche. Une fois en sous-vêtements, je m'approche de toi, et écarte mes jambes pour me mettre à califourchon sur toi, tout habillé, posé sur ce canapé. Ton sexe est déjà tendu à l'intérieur de ton pantalon. Tu m'embrasses, passionément. Ta bouche dévore la mienne, tes mains empoignent mes fesses. Le désir mouille ma culotte. J'ai envie de voir tes yeux briller d'envie. Je me glisse sur ton côté et je m'allonge sur le canapé. Je retire ma culotte, mais garde mon soutien-gorge. Mes yeux se ferment. Ma main descend jusqu'à mon sexe. Mes doigts glissent à l'intérieur de mon sexe et remonte vers mon clitoris. J'entends ton souffle à côté de moi, j'entends ton envie, je la sens, elle est perceptible. Elle m'exite encore plus. Je garde les yeux fermés, un peu intimidé par l'intimité que je te laisse entrevoir. Mais j'aime me caresser, alors je tâche de le faire comme si tu n'étais pas là. Mon corps se cambre, mes doigts rentrent à l'intérieur de moi, ils viennent caresser l'entrée de mes fesses. Mon index y entre, très légèrement. J'ai envie de te laisser ce privilège, pour plus tard. Je te prépare le terrain, un peu, c'est tout. Je retourne à mon clitoris, et effectue des vas et viens de haut en bas, jusqu'à mon vagin. Mon souffle est de plus en plus pressant, tout comme le tien. J'écarte d'avantage les jambes, parce que je sais que tu me regardes. J'ai envie que tu vois mon corps se contracter et se relâcher. Mes doigts sont de plus en plus précis, les allers et retours sont pourtant très doux. Mais ta présence rend mon envie plus intense. Et, comme par surprise, l'orgasme arrive, je ne m'y attendais pas. Je sens que tu as ouvert ton pantalon pour te caresser toi aussi. Je sens l'odeur de ton sexe. Je le désire. L'orgasme est puissant. Je m'appuie sur mes pieds et mes fesses se relèvent de satisfaction, mon vagin se contracte d'abord, plusieurs fois, et quand la fin de l'orgasme s'annonce, je le sens s'ouvrir, comme s'il tappelait ... Tu n'en peux plus, et tes doigts rentrent en moi, sans autres préambules ... D'abord dans mon vagin, mais très vite, dans mes deux orifices à la fois. Je m'appuie sur mes jambes pour relever mon corps, pour présenter mon sexe à ta bouche. Tu déposes délicatement ta langue sur mon clitoris. Mais le désir est déjà trop intense. D'un coup, tu décides de me retourner sur ce canapé, pour me mettre à quatre pattes. Je m'accroche à l'acoudoir, je n'ai qu'une envie, te laisser faire. Tu attends d'abord, un peu. Pour faire monter encore d'un cran le désir. Mes fesses remuent, elles veulent te sentir. Je finis par te dire "viens". Tu me demandes de le répéter, de te le redire encore et encore. Viens, s'il te plaît viens, je suis à toi. Tu glisses d'abord tes mains à l'intérieur de mon vagin. Mon dos se cambre. Tu t'imisces doucement dans mon intimité. Tu contrôle parfaitement tes mouvements. Je suis aux abois. Je sens ton sexe dur de désir qui s'approche de moi, qui se colle à mon sexe, qui se mouille en se frottant à moi, J'ai envie qu'il rentre, qu'il me prenne, mais tu fais encore durer l'attente. Je te réclame encore. Viens, prends-moi, j'ai envie que tu me prennes, que tu me prennes fort. Je sens que mes mots t'excitent. Mais tu gardes le contrôle. Encore quelques secondes. Et ton sexe rentre enfin dans le mien. Fort. D'un coup. Jusqu'au bout. Un cri sort de ma bouche. Chacun de tes coups de reins est un délice puissant. Ton pouce trouve sa place dans mes fesses tandis que les allers et retours s'accélèrent. L'exitation est trop grande. Au bout de quelques minutes, je sens ton désir exploser en moi ... Je jubile ... Je sais qu'à peine fini, nous recommencerons ... Tu t'affales sur mon dos, ton torse est trempé, et j'aime ce contact. 

Je garde ton sexe à l'intérieur du mien. Je sais que bientôt il va se regonfler ... 

2 février 2014

Elle : Et au milieu coule une rivière ...

Je crois que j'avais eu tellement peu de temps ces dernières semaines que j'en avais même oublié de jouir ... 

Hier soir, j'ai pensé à toi. J'avais envie que tu sois là. Que tu regardes. 

Juste un doigt sur mon clitoris. Juste ça. Mais dans mon corps, je sentais ton regard. Puis tes doigts rentrer un à un à l 'intérieur de moi, orifice par orifice. Me les faire lécher. Les replonger en moi. J'ai joui. Une fois. Puis deux. C'est ton sexe que j'ai senti ensuite taper à l'entrée de mes fesses. Comme c'était bon. Te sentir rentrer doucement. Elargir cette entrée, et attendre que tu plonges entier à l'intérieur de moi. J'ai joui. Imaginer chacun de tes allers et retours. Te sentir sortir ton sexe et l'insérer de nouveau. Comme une provocation. J'ai joui, encore. Sentir que tu reviens, en force, avec la ferme intention de ne pas quitter mon cul cette fois, au bout de toi, de plus en plus vite, mon doigt continuellement sur mon clitoris. J'ai joui encore en te sentant en moi. Je t'ai imaginé exploser à ton tour et avec un son long de plaisir. Et j'ai encore joui. 

Quand j'ai retiré mon doigt de mon clitoris, je l'ai laissé descendre, pour voir. La cyprine coulait bien au delà de l'entrée de mes fesses. Je dégoulinais de ta présence dans mon esprit. 

Au réveil, ce matin, mon sexe était encore humide. J'ai joui très vite, deux fois. Et je me suis rappelée à quel point j'avais envie de toi. A quel point je te désirais. A quel point j'avais envie de te sentir, de me montrer, de te montrer ... Tu es mon plus beau fantasme. Mon plus profond. Si tu savais comme j'ai envie de toi ... 

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